Je finis le carnet à la couverture bordeaux commencé en mai dernier en reprenant quelques passages extraits de la biographie de Peter Handke lue ces jours-ci (Malte Herwig, Meister der Dämmerung, 2011), ainsi que de plusieurs livres du même auteur que je redécouvre depuis deux-trois ans.
Ici, je note cette phrase prononcée par un ami de Handke: « Ce qui lui importe, c’est qu’on regarde le monde comme on devrait le regarder. »