L’homme à la radio : évoque avec éloquence et profondeur les dernières pages du livre de Malraux, Les Voix du silence, où l’homme de Lascaux exposé aux dangers du monde extérieur commence à peindre des animaux sur les parois de sa grotte et ainsi fonde sa propre humanité.
La journaliste : « Ouais ».
Le chant d’oiseau puissant et mélodieux : celui du bulbul orphée – tête et huppe noire, torse blanc, une ligne rouge sur la queue.
Ils sont deux à se nourrir sur la terrasse voisine remplie de plantes tropicales – n’y ai jamais vu personne – perchés sur les branches pour attraper des graines ou des fruits.