Un longicorne noir : mort au fond d’une tasse vide – couché sur le dos, pattes recroquevillées, longues antennes dressées.
Comme si le corps des coléoptères munis d’une carapace leur servait de tombeau naturel.
Phénomène observé également chez un papillon de nuit retrouvé mort il y a quelques semaines sur la tranche d’un livre – où je l’ai laissé reposer en paix depuis, sans que son corps-sépulcre ne se soit dégradé.