Le livre et le carnet ouverts devant toi – et tu te sens relié au dehors, présent au monde.
Ciel dégagé : on distingue bien les arbres minuscules sur la crête de la montagne, leurs cimes encore dressées malgré les vents violents qui soufflent continuellement là-haut.
Les mots qui semblent naître à la surface, au contact du dehors – sont portés par le fleuve souterrain.
Ce jour pourrait s’appeler : « Le jour où tu as vu deux pailles-en-queue voler côte à côte dans le ciel bleu ».