Ces jours où le paysage, dans sa plénitude, t’écrase : rentre en toi, perds-toi dans ton propre vide – des formes se dessineront peut-être.
Dans un récit, les personnages reviennent, ne cessent de réapparaître et d’être nommés – ici, ce sont les choses et les êtres du dehors qui reviennent avec leurs noms – idéalement : sous un jour totalement nouveau.
Ta perception est affaire d’écriture : si tu vois, c’est en écrivant et en écrivant seulement.
Ces livres que tu ne traverses pas en les lisant : quelque part, tu restes accroché et n’en sors plus.
Dehors, le paysage silencieux est plein de récits inconnus.