Nouvelles briques, nouveaux murs, nouveau portail – en face, dans la cour du bâtisseur – une pièce nouvelle en construction – et devant la case de la veille femme disparue, l’ancien jardin arraché, le sol aplani et bétonné.
De ce côté-ci en revanche, la maison des vents reste inachevée – quelques échafaudages démontés posés au deuxième étage – maison toujours sans toit – ce matin le soleil éclaire les murs à l’intérieur.
(Joie quotidienne à la vue du chantier à l’abandon – de l’inachèvement qui perdure.)