Lui qui cherchait sans cesse à comprendre ne savait quoi faire face au paysage. Une nouvelle vie commençait.
Il aurait voulu porter la montagne en lui : ne plus souffrir d’aucune espèce de légèreté.
La vie dite sauvage (les oiseaux, les arbres, l’océan) ravivait le regard au milieu de toutes les images artificielles qui pullulaient.