Le bureau : devenu une surface où je dépose des livres, des fleurs et des feuilles mises à sécher, des coquillages, des carnets, des crayons, des stylos, des feuilles de papier et quelques autres outils dont je ne me sers plus à cet endroit puisque je n’y écris plus, préférant écrire dehors, à l’air libre.
Assis non pas face à la montagne, mais de biais, comme si une partie de moi l’observait pendant qu’une autre écrivait.
L’oiseau bondit pour essayer d’attraper l’insecte ayant gravi le mur, le chat guette l’oiseau, j’observe le chat, etc.
et je souris
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